Dans les textes
641 |
Isabelle Richard-Taillant Par le temps qui court
Ils dorment mal et sont
tous fatigués le matin. Le boulanger, l'aide-soignante, les jumelles, la dame
du 210, l'anorexique, et le jeune homme qui travaille à la boulangerie. La
boucle est bouclée.
|
2013 - 9 pages
3 comédien(s)
6 comédienne(s)
Publié dans le volume 949
|
642 |
Paul Pourveur Des mondes meilleurs
Chaque matin, lorsqu'il
se réveille, l'homme pense la même chose : "Au secours, je vis." Comment
faire pour trouver la force de sortir du lit et de continuer ?
|
2013 - 11 pages
1 comédien(s)
0 comédienne(s)
Publié dans le volume 949
|
643 |
Veronika Mabardi La dernière aube de Giordano Zitti
La vieille Anna va mourir.
Institutrice, fille d'instituteur, elle était toute jeune encore lorsqu'elle
est tombée amoureuse de Giordano, 16 ans, mineur de fond…
|
2013 - 11 pages
4 comédien(s)
5 comédienne(s)
Publié dans le volume 949
|
644 |
Olivier Coyette Brefs instants de vacance
Une femme anciennement
obèse, qui craint de le redevenir, un homme au moignon, un ouvrier de chez
Peugeot, et bien d'autres encore. Tous ont une technique bien à eux pour s'éveiller
le matin.
|
2013 - 5 pages
8 comédien(s)
6 comédienne(s)
Publié dans le volume 949
|
645 |
Bénédicte Couka La trace
Une
tribu préhistorique est dans sa caverne où le froid s'invite. Grâce au vieux,
ils réussissent à allumer un feu. Arrive alors la faim qui tiraille les
estomacs.
|
2013 - 9 pages
6 comédien(s)
4 comédienne(s)
Publié dans le volume 949
|
646 |
Stanislas Cotton Clod et son Auguste
Clod
est un espiègle, un gugusse, un Auguste aux facéties dérisoires, qui dans un
cirque, flanqué de ses complices, illumine à coups de farces les tristes mines
de ses contemporains. Mais voilà que des événements sombres adviennent. Le
cirque ferme. Ses comparses s'éclipsent… Et Clod désespère, épaules basses et
tristesse dans les pas.
|
2013 - 29 pages
1 comédien(s)
0 comédienne(s)
Publié dans le volume 948
|
647 |
Stanislas Cotton Le roi bohème
Aurelio
est un dilettante, l'insouciance est sa devise. Mais l'air du temps impose un
minimum de retenue et le voilà qui rempoche ses fantaisies pour décrocher le
poste d'apprenti-vendeur chez Monsieur Lampadaire, chausseur pour dames. Une
demoiselle, Camélia, qui passe, s'entiche des mules satinées et notre garçon,
que son peton menu émeut, abandonne son poste à la poursuite de la gazelle.
|
2013 - 28 pages
1 comédien(s)
0 comédienne(s)
Publié dans le volume 948
|
648 |
Matéi Visniec Le mot progrès dans la bouche de ma mère sonnait terriblement faux
Cette pièce parle de la guerre, de la douleur, de la mémoire blessée.
Les frontières qui sautent en Europe, la mixité culturelle, la liberté
retrouvée sont en train de dessiner un nouveau paysage géographique et
humain... sont en train de dessiner l’avenir et l’espoir. Mais si on creuse un rien
sous ce paysage, on découvre plusieurs couches de morts superposées et beaucoup
de blessures mal guéries, encore saignantes... Souvent, les frontières se
reconstituent ailleurs, dans les cours, dans les rancoeurs, dans les esprits
tourmentés… Cette pièce se veut un miroir lucide posé devant notre conscience européenne,
un avertissement que la sortie du tunnel est encore loin…
|
2013 - 64 pages
3 comédien(s)
2 comédienne(s)
Publié dans le volume 947
|
649 |
Jean-Charles Raymond Monsieur Agop
"Monsieur Agob, Marseille, France" C'est tout ce dont Azad dispose quand il débarque à l'aéroport de Marseille,
très très loin de chez lui. Il veut retrouver ce Monsieur Agop qui l'a sauvé
quand il était enfant. Il doit lui parler, et surtout lui révéler un secret
avant qu'il ne soit trop tard. Pour l'aider dans sa quête, Yasmine et des jumeaux conducteurs d'un seul et
même taxi. Une incroyable histoire qui, à travers les quartiers de Marseille,
nous parle de tolérance et d'humanité.
|
2013 - 34 pages
3 comédien(s)
1 comédienne(s)
Publié dans le volume 946
|
650 |
Brigitte Jacobs Made in dignity
Un carnet, sorte de journal intime, qu'un garçon de seize ans a laissé traîner
sur la table de la cuisine. Un coup d'oeil du père... et tout son monde qui
s'écroule. Car la perception de l'autre qu'on reçoit comme ça, d'un coup, en
pleine face, ça fait mal. Très mal. Surtout quand la porte ne veut pas s'ouvrir
pour tenter d'établir un dialogue et de comprendre. Alors ne reste que le
monologue douloureux d'un père face à lui-même, à sa vie, à ses errances... Les
mots de Brigitte Jacobs sont simples, quotidiens. Elle porte un regard sans
concessions sur son personnage. Avec un humour qui met en lumière le revers du
masque de l’homme qui souffre.
|
2013 - 26 pages
1 comédien(s)
0 comédienne(s)
Publié dans le volume 945
|
Précédent | Suivant |